L'école professionnelle dont il est ici question deviendra, en 1859, le Collège Laval. Cette institution, passée sous la responsabilité des Frères maristes en 1888, dispense aujourd'hui des services d'enseignement secondaire privé. Sa construction s'est poursuivie jusqu'en 1985. Dans le rapport qu'il envoie au ministre de la Marine, qui diffère légèrement de son récit publié en journal, Belvèze ajoute :

  « J'espère que S. Exc. le ministre de l'instruction publique voudra bien contribuer par l'envoi de livres utiles au succès de cette fondation destinée à maintenir dans ce pays l'attachement à la France et à son souverain. »

(« Rapport de M. de Belvèze, Commandant de La Capricieuse au Ministre », dans Henri Belvèze, Lettres choisies dans sa correspondance (1824-1875), avant-propos et notice biographique et historique par Hubert et Georges Rohault de Fleury, Bourges, Pigelet et fils et Tardy, 1882, p. 128-135).