Les « travaux de curage » dont parle Belvèze n'auraient pas suffi, selon lui, à permettre le passage de La Capricieuse; en cela, il n'avait pas tort. En effet, en raison de dépôts sédimentaires importants, la profondeur du lac Saint-Pierre ne dépassait pas trois mètres à l'époque. Depuis 1965, grâce à des travaux effectués à partir de 1959, elle atteint 11 mètres. En plus de permettre une circulation fluviale plus aisée, ces travaux ont entraîné une meilleure régulation de la circulation des eaux et ont permis d'éviter des inondations. ![]() [La Capricieuse dans le port de Québec], Journal de Québec, 13e année, no 90, samedi 14 juillet 1855, p. 2 :
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