« Les raisons d'ordre économique et politique jouent le rôle principal [dans la création d'un consulat à Québec durant le Second Empire]. Le Second Empire, dans sa première décennie, constitue une période d'expansion économique, commerciale et coloniale que favorisent le développement du crédit et l'essor des transports maritimes. La France protectionniste, mais de plus en plus impressionnée par l'exemple anglais, se prépare au libre-échange. » (Pierre Savard, Le consulat général de France à Québec et à Montréal de 1859 à 1914, Québec/Paris, Presses de l'Université Laval/Éditions A. Pedone, 1970, p. 12-13).




« Agence consulaire de France », La Minerve, vol. 28, no 4, 18 septembre 1855, p. 2.